histoires

Mercredi 30 mai 3 30 /05 /Mai 16:32

Il y a si longtemps que cette histoire a commencé que je ne me souviens même pas de l'année. Je me souviens de cette annonce sur une revue spécialisée, le net n’étant même pas encore inventé. De mémoire, elle disait à peu de chose près, ceci :

« Maître pervers et vicieux cherche jeune salope à former à toutes les perversités, délocalisation et dépersonnalisation totale, si capable ».

Suivait une référence et la mention : « Répondre à l'annonceur ».

À cette époque, j'avais déjà une bonne expérience des bites et malgré mon jeune âge, je savais déjà que j’étais destiné à servir de jouet sexuel, tellement je prenais plaisir à sucer des queues et à offrir mon cul de jeune minet dans toutes les pissotières de la région. J'ai donc répondu sans vraiment espérer quoi que ce soit, persuadé qu'il s'agissait d'une blague, et j'ai oublié cette histoire jusqu'à ce jour où je reçus un colis... À l’intérieur, je trouvai un cahier à la couverture plastifiée marquée « Mon cahier de trainée » aux pages numérotées, un album photos vide et une lettre contenant les instructions.


Salut salope,

Alors comme ça, tu prétends être une bonne salope adorant les bites ? Il va falloir me prouver cela si tu espères un jour m'appartenir et apprendre à te dépasser.
Comme tu peux le voir, je t'ai envoyé un cahier et un album photos. Chaque fois qu'un homme se servira d'un de tes trous, je veux qu'il mette un commentaire sur le cahier et une photo de toi où l'on voit bien son foutre soit dans ta bouche, soit dégoulinant de ton cul. Tu y ajouteras ton propre commentaire expliquant en termes aussi crus que possible que tu n'es qu'une salope bonne à fourrer. Une fois l'album photos rempli, tu me renverras le tout et je verrai alors si je peux espérer faire de toi une vrai chienne. Si tel est le cas, tu quitteras immédiatement tout ce que tu as et tu seras entièrement pris en charge. À ce moment-là, il sera trop tard pour changer d'avis. Alors réfléchis bien, je te laisse un mois jour pour jour. Après quoi, il sera inutile de me recontacter.

Ton futur Maître


La simple lecture de cette lettre fit littéralement bouillir mon sang et je ne résistai pas à l'envie de me branler, imaginant toutes les perversions que cet homme pourrait me faire subir. Mais j’étais loin de me douter que toutes mes espérances allaient être dépassées.

Je me mis un doigt dans le cul, jouant à le bouger tout en me caressant, le ressortant pour le lécher et le remettre encore, gémissant comme une bonne salope, jusqu'à ce qu'une bonne dose de foutre vienne inonder ma main. Je m'en tartinai le trou, savourant le reste sur mes doigts, déjà prêt à une autre saillie.

Une fois mes sens calmés, et après que j'eus savouré mon foutre jusqu'à la dernière goutte, je me dis qu'un mois c’était plutôt court comme délai et qu'il fallait que je me mette rapidement à l’œuvre.

Je préparai donc un petit sac destiné à mettre le cahier, un stylo, un feutre indélébile et un appareil photos, et me dirigeai vers la pissotière des quais. C'était une vespasienne à l'ancienne, simplement un mur goudronné et une rigole, un lieu bien connu à l'époque pour être un rendez-vous homo, et où j'avais souvent sévi, suçant n'importe qui et me faisant baiser par tout le monde, et surtout devant tout le monde. En effet, je trouvais très excitant de voir tous ces mâles se branler en me regardant me faire baiser, me traitant de tous les noms, la plupart profitant de l'occasion et venant sans état d'âmes ramoner ma bouche et mon cul encore gluant du foutre du précédent. Je repartais toujours tard la nuit, couvert de sperme, n'ayant qu'une idée en tête, y retourner le plus vite possible.

Ce soir-là, il devait y avoir trois ou quatre hommes debout devant l'urinoir et qui se caressaient doucement, attendant l'occasion qui ne manquerait pas de se présenter. À peine entré, je respirai à fond pendant de longues et délicieuses secondes cette odeur qui m’enivrait à chaque fois, mélange de goudron, de sperme, de vieille pisse et de sueur. Puis je m'approchai du mur couvert de petites annonces, y trouvai un lieu encore vierge et y inscrivis la mienne :

Bonne salope docile avalant les bites par tous les trous cherche donneurs tous les jours dès 18h pour faire son press book. Laisser message

Comme je le pensais, les hommes présents, voyant mon geste, vinrent lire l'annonce puis se tournèrent vers moi. Après un moment de silence, l'un d'eux s'approcha de moi et me mit la main sur les fesses :

— Alors comme ça, on est une salope en chaleur qui a envie de se faire baiser ?

— Oui, et je dois faire signer mon cahier de trainée et y joindre mon commentaire et une photo chaque fois qu'on me baise.

Déjà ma main s'était posée sur le devant de son pantalon où une bosse prometteuse s'était formée. Presque par réflexe, je me suis mis à genoux et j'ai ouvert la braguette du type, dévoilant un sexe aux dimensions plus qu'acceptables, sexe que j'ai immédiatement pris en bouche, ponctuant le tout d'un gémissement de plaisir non dissimulé.

— Putain, c'est vrai que tu sais sucer, toi. On voit tout de suite que tu aimes ça et que tu fais pas semblant... Régale-toi salope!

Je mettais tout mon cœur à donner du plaisir à cet inconnu, passant de petits coups de langue sur le gland à des gorges profondes, quittant parfois la bite pour gober les testicules, léchant la tige avant de la reprendre en bouche. Derrière moi, je sentais les autres mâles s’exciter devant le spectacle. Aussi je me remis debout, cassé en deux afin de leur offrir l’accès à mon cul.

Comme je l’espérait, mon pantalon se retrouva très vite sur mes chevilles et un doigt emplit mon trou, suivi d'un autre.

— Cette salope a un cul accueillant, pire qu'une chatte. Je lui ai glissé deux doigts sans même avoir à la lubrifier.

— Ouais, et regardez-la trémousser du cul de plaisir. Il lui faut plus que des doigts.

— On va lui en donner, les gars, tous et par tous les trous. On va la faire déborder de foutre, cette chienne.

J'étais aux anges, à ma place, et j'abandonnai mon corps aux assauts de ces inconnus qui passaient à tour de rôle de ma bouches à mon cul, me retournant à leur gré dans toutes les positions sans se soucier de la pisse qui trainait au sol et dans laquelle ma figure frottait parfois, ne songeant qu'à leur plaisir.

À chaque fois que l'un des hommes jouissait dans un de mes trous, il prenait une photo puis mettait un commentaire salace dans le cahier. Je rajoutai alors mon appréciation, à quatre pattes dans la pisse qui trainait, une bite enfoncée dans mon cul.

Au fur et à mesure que les mecs se vidaient en moi, d'autres arrivaient et prenaient la place vacante. Et le manège continuait ainsi, sans une minute de répit.

À la fin de la nuit, j'avais déjà une bonne douzaine de commentaires dans le cahier et autant de photos de moi couvert de foutre et de pisse. C'est ainsi que je rentrai chez moi me coucher, sans même prendre une douche, récupérant de mes doigts tout le sperme possible pour le savourer encore une dernière fois. Je sombrai ensuite dans un sommeil rempli de rêves où des mâles sans visages continuaient de me remplir de foutre chaud.

Le lendemain, les paupières encore collées par les litres de sperme de la veille, je fis un compte rendu de la soirée à mon correspondant, lui donnant mon numéro de téléphone et lui demandant au passage combien il y avait de photos dans le film. Je lui annonçais également mon intention d'y retourner le soir même, essayant, pour son plaisir, d'être encore plus salope que la nuit d'avant. Pour ce faire, je préparai un sac avec du vieux pain et une pancarte en carton sur laquelle était écrit : « Pour nourrir la truie, jetez-lui simplement le pain dans la rigole ».

Dès la fin de l'après-midi, j’étais à nouveau présent à la pissotière avec tout le matériel. En attendant la saillie, je jetai un œil à mon annonce. Surprise, un message y avait été ajouté : RDV à 22h devant les toilettes du parc de C. Je notai le rendez-vous, accrochai le sac au mur et me mis à quatre pattes devant la rigole, pantalon sur les chevilles, mes fesses écartées à deux mains, le sac de vieux pain à coté de moi et la pancarte accrochée au dessus.

Je n'attendis pas plus de quelques minutes quand le premier homme entra. Lorsque ses yeux s'habituèrent à la pénombre, il remarqua ma présence, vit le sac et le panneau.

— Mmmhhh, y a de la bonne salope aujourd'hui, on dirait.

— Oui, je suis une truie à baiser par tous les trous et par tout le monde.

— C'est clair, tu en a besoin, ça se voit. Mais avant tout, tu n'as pas faim ?

— Si monsieur.

Il posa son pied sur ma tête, la plongeant dans la rigole.

— Commence donc par l'apéro, salope.

Il m'obligea à laper la vieille pisse dans la rigole pendant qu'il ouvrait sa braguette, puis jeta quelque bouts de pain dans l'infâme ruisselet avant de m'arroser de sa pisse, visant alternativement mon cul offert, ma tête et les quignons de pain.

— Vas-y salope, régale-toi ! Tu es vraiment une truie, à bouffer du pain à quatre pattes dans une pissotière.

— Oui monsieur, une truie qui aime la pisse et le foutre.

— Tu vas en avoir. Termine de bouffer pendant que je me sers de ton trou à foutre.

Je n'avais pas encore fini qu'un deuxième arrivant se mêla à la scène, jeta un autre bout de pain puis pissa directement dessus avant de se branler et d'arroser le tout d'un épais nappage de foutre chaud.

À ce moment, l'homme derrière moi accéléra le rythme et un liquide chaud remplit mon ventre. Il resta fiché au fond de mon trou un moment, puis se retira, me mit à genoux et me présenta sa bite à sucer. Une belle bite, longue et épaisse, encore gluante de foutre et maculée de traces brunes.

— Nettoie, salope ! Je veux plus une seule trace.

Je pris son sexe à moitié débandé en bouche et m'appliquai à le nettoyer, prenant plaisir à le sentir reprendre vigueur sous mes coups de langue, lorsqu'un autre homme entra. Il me regarda sucer en se caressant, sans visiblement se décider à profiter de mes trous. L'homme que je suçais l'invita ouvertement et le dialogue s'engagea :

— Si ça te tente, je lui ai bien lubrifié le cul à cette salope !

— Je préférerais me faire sucer un peu avant, elle a l'air de savoir y faire.

— Pas de problème. Tu as vu la pancarte au-dessus ?

— Putain ! Quelle truie ! Je vais pas me gêner alors.

— Y'a pas de raison. Et quand tu en auras fini, laisse-lui un mot sur son cahier et prends une photo, cette chienne doit encore apprendre. En attendant, je crois que je vais lui remplir le cul à la pisse, je suis sûr qu'elle aime ça.

Aussitôt, la bite que je nettoyais reprit place entre mes fesses, tandis que le nouvel arrivant me fourrait la sienne au fond de la gorge, tout en émiettant à nouveau du pain sur le sol. Je sentis mes intestins gonflés sous la pression d'un liquide chaud pendant que le premier homme me remplissait le cul à la pisse comme il l'avait promis, tandis que le second écrasait du pied les bouts de pain trempés de pisse et me donnait son pied à lécher. Totalement avili, je couinais de plaisir, et lorsque la bite qui me remplissait le cul se retira, je me vidai sans retenue et sans honte sur le sol devant ces deux hommes totalement inconnus. Je fus à nouveau retourné et obligé de laper le pain baignant à présent dans mon lavement de pisse.

— Vas-y, grosse truie, bouffe la pisse qui traîne. Tu dois aimer ça, c'est sûr !

— Montre-nous que tu aimes ça, doigte-toi pendant ce temps.

— Frotte-toi la gueule dedans et regard-nous. Dis-nous ce que tu es !

J’obéis et me frottai la figure dans le mélange, me mis deux doigts entre les fesses, puis me remettant sur les genoux, je levai la tête et annonçai à haute et intelligible voix :

— Je suis une truie, une chienne juste bonne à être tirée par tous les trous, à être nourrie au pain sec et à la pisse, et je suis heureux de le montrer.

Au-dessus de moi, les deux hommes se masturbaient. C'est au moment où ils arrosèrent ma figure de longs jets de foutre chaud en me traitant de poubelle sur pattes, de truie immonde et de salope à clodo, qu'il entra.

Je terminai de nettoyer les deux mecs pendant qu'ils prenaient les photos après avoir mis le commentaire sur mon cahier, lorsque je pris conscience du nouveau venu. La démarche hésitante et l'odeur de vin ne laissaient pas de doute : un SDF égaré là, sans aucun doute. Mais trop tard ! La figure couverte de sperme encore chaud, le pantalon sur les chevilles, le cul bien ouvert et la pancarte en plus, trop tard pour faire quoi que ce soit... Espérons qu'il ne fasse que passer.

Alors que le clodo sortait sa bite, visiblement trop éméché pour remarquer quelque chose, ce fut le choc. L'un des deux hommes me prit par les cheveux et me mit la tête sous le jet de pisse du SDF en annonçant :

— Tiens salope, en voilà encore. Tu es gâtée ce soir, de la pisse bien chaude à volonté

— Oui, après la nôtre il y a celle-ci. Lève la tête et ouvre bien la gueule !

— Et quand tu auras bien tout avalé, tu lui feras une bonne pipe. Tu es très douée pour ça, salope, et je suis sûr qu'il va aimer ta bouche !

L'odeur était abjecte, mais le fait de me retrouver ainsi, obliger de sucer cette queue qui visiblement ne connaissait pas le savon, m'excitait. Aussi je m’efforçai de ne pas perdre une goutte du jet brûlant qui arrosait ma gorge. Mais malgré mes efforts, et du fait que l'on me secouait la tête, je fus vite trempé comme une soupe, puant la pisse et le sperme presque autant que lui sentait le vin. Dès que le flot de pisse se fut quelque peu calmé, je pus prendre cette bite fromageuse en bouche et commençai à la sucer tout en avalant les dernières saccades de pisse. L'homme, visiblement, appréciait et ne ressentait aucune gêne à se faire ainsi sucer la tige par une salope sur la figure de laquelle il venait de pisser, bien au contraire.

— Putain, c'est bon, elle suce bien cette salope, et en plus elle avale la pisse !

— Oui, une bonne truie comme on en voit rarement. Si tu veux la baiser, te gêne pas, elle sait pas dire non.

— Il a raison, on lui a déjà rempli deux fois le cul et la gueule, et elle en redemande !

— Et faut la voir bouffer son vieux pain à même le sol, dans la pisse et le foutre. Elle se régale, visiblement.

— Montre-lui, salope, quand tu lui auras nettoyé la bite. Je veux que tu lui demandes de te nourrir et de te baiser pendant que tu lapes ta bouffe !

Bien entendu, aussi excité par la situation que les paroles, je finis de nettoyer cette queue immonde puis me remis à quatre pattes, fesses bien offertes et demandai :

— S'il vous plaît, monsieur, pourriez-vous me jeter un peu de pain dans la rigole de pisse afin de me nourrir comme je dois et aime l'être, et profiter de mon cul pour me remplir de foutre pendant que je ramasserai ma bouffe au sol ?

Le clodo accepta en rigolant grassement, et quelques minutes plus tard, il se déversa, lui aussi, avec un râle de plaisir entre mes reins. Puis ils quittèrent tous les trois la pissotière. Moi, rompu de fatigue et de plaisir, je m’écroulai, la figure dans la pisse et m'endormis sur place.

Par latruiepisseuse - Publié dans : histoires
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Mercredi 30 mai 3 30 /05 /Mai 16:31

Premier contact

Cela faisait déjà un moment que je recherchais sur le net une femme dominatrice. Il faut dire que j'aime porter une culotte plastique, sur mes sous-vêtements, et faire pipi dedans. Trouver une dominatrice qui ne soit pas vénale n'est pas déjà chose aisée, mais en trouver une qui m'utilise comme je souhaitais l'être relevait de l'impossible.
Aussi, quand j'ai reçu ce mail m'annonçant qu'une certaine Maitresse P. avait répondu à l'une de mes nombreuses annonces, et qui plus est, qu'elle était dans ma région et désirait me voir, j'ai sauté sur l'occasion.
Le mail était clair:
« Soit lundi prochain à 14.00h précise debout au comptoir du bar X, je viendrai t'y rejoindre, mais je te veux en culotte plastique, trempé, et plugué sous tes vêtements. J'ai toujours rêvé d'avoir une petite salope pisseuse comme jouet, si tu te montre à la hauteur, je saurai te donner ce que tu cherche, mais attention, je ne tolèrerai AUCUN écart de conduite de ta part, ou je disparaitrai de ta vie aussitôt! Suis-je clair? »
J’ai immédiatement répondu par l’affirmative, me disant qu’au pire, je pouvais toujours mettre fin au jeu à ma convenance, puisqu’elle m’en donnait la possibilité puis nous échangeames encore quelques détails sur mes phantasmes et mes limites avant de nous séparer sur ce rendez-vous.
La nuit de dimanche à lundi fut peuplée de rêves oniriques, où de somptueuses créatures vêtues de cuissardes brillantes m’exhibaient et m’humiliaient publiquement, et au réveil, une érection terrible m’obligea même à me satisfaire, afin de calmer mes esprits.
Je pris une douche, m’administrai un profond lavement, me rasai de près, puis je mis un plug d’une taille raisonnable, une belle culotte en dentelle rose, passai une serviette en pagne dessus en guise de couche, enfilai ma culotte plastique par dessus et finis de m’habiller.
L’ensemble restait malgré tout à peu près discret, et une veste longue finit de rendre ma tenue quelque peu incongrue totalement invisible.
Je filai alors à la gare et profitai du voyage pour me lâcher dans ma culotte, assez pour la mouiller, mais sans risquer de fuites et c’est donc les fesses bien trempées que j’arrivais au bar.

Le piège se met en place

Le bar était plutôt glauque, et les quelques clients présents, essentiellement des arabes, avaient tous plus de 40ans, et ne ressemblaient pas vraiment à des cadres supérieurs. L’air était enfumé, et il y régnait une odeur spécifique, mélange de fumée froide et de sueur mais même si je trouvais étrange que Maîtresse P m’ai donné rendez vous ici, je me disais qu‘après tout, j’avais dit obéir en tout point à ses directives et que je n’allais tout de même pas me faire agresser comme cela, en plein jour, et dans un lieu public.
Je me dirigeai donc vers le bar et commandais une bière, étant en avance, puis me dirigeais vers les toilettes, soulager ma vessie pas totalement vide.
Les toilettes en question étaient à l’image du bar: sales, et pas nettoyés, le sol carrelé était trempé de ce que j'espérai secrètement n’être que de l’eau...les murs recouverts de graffitis à l’orthographe aussi douteuse que la propreté des lieux , invitaient l’utilisateur au stupre et à la luxures en termes crus et obscènes, une odeur de vieille urine agressait les narines. Décidément, quel étrange lieu de rendez vous....
Je retournai au bar, payai ma consommation et savourai ma bière, laissant libre cours à mon imagination, en observant les autres consommateurs présents. Tous mes scénarios échafaudés la veille s'écroulaient comme un château de carte: point de superbes filles en cuissardes, ni de lieu aménagés, et je me commençai à penser que cette histoire sentait le lapin à plein nez....mais bon, rien de bien grave à priori, j’allai finir tranquille ma bière et aviser du reste de la journée.
Je ne prêtai plus guère attention à la salle ni au téléphone qui sonna ni au barman qui pris l’appel. Quelques «oui, non, bien sur», je ne remarquai dans ces propos rien que de bien banal, je ne pris pas garde non plus au signe qu’il fit à l’homme assis prés de l’entrée . Mais quand celui ci se leva et ferma la porte du bar en mettant le verrou et que le barman descendit les volets roulants, je sentis une montée d'adrénaline...
D’une voix que je voulais aussi sûre que possible, je demandai:

«Y’ a un problème?»
-non, on attend quelqu’un mais tu peux finir ta bière»

Le piège se referme

Ce tutoiement ne me rassurait pas du tout et quand le barman sortit de sous le comptoir une pochettes avec des photos, je crus défaillir: des photos de moi en couches, nu, d’autres ou j'avais le plug entre les fesses... A présents, tous les hommes présents s’étaient levés et se dirigeaient vers moi. Je commençai sérieusement à ne plus trouver la situation très drôle. Une main se posa sur mes fesses:

« Shouf, il porte vraiment une culotte de bébé!! »

Des rires gras, des mains qui me tâtent les fesses, les premières injures qui fusent....

« quelle salope!
Je suis sur qu’il est trempé!
Je sens qu’on va bien s’amuser avec cette pute!

La terreur me gagne petit à petit. Impossible de fuir! Comment ai je pu être aussi bête?j’essaye de me dégager, mais ces hommes sont trop forts et trop nombreux pour moi et je me retrouve vite fait torse nu avec mon pantalon sur les chevilles, entrainé vers les toilettes....

« Alors salope? On est venu? Tu as obéi à mes ordres? »

Devant moi se tient maîtresse P, superbe , sur ses talons, en tailleur strict!! Ma peur disparait, j’ai confiance en elle. Je tente un timide « oui » et une baffe me couche sur le sol froid et trempé.

« C’est oui maîtresse, et pour eux, ce sera Monsieur, tu as saisi, sous-merde? Et pour commencer, voici ce que tu m’as écrit, tu vas le lire à haute et intelligible voix»

Je pris le texte qu’elle me tendait et lu:

« Je suis une truie pisseuse, Maîtresse, et j’aime être humilié et exhibé en public, servir de jouets sexuel aux hommes pour votre plaisir »
-Bien, je suis heureuse de te l’entendre dire.

Sa voix se calma. Puis s’adressant à présents aux mâles:

« Comme je vous l’avais promis, je vous offre une bonne petite pute pour vous satisfaire: servez vous de sa bouche et de son cul à volonté, mais sachez qu’elle aime autant le sperme que la pisse. Sa culotte doit normalement être trempée, je vais vérifier cela de suite, et son cul plugué. »

Elle abaissa ma culotte plastique, découvrant mon lange mouillé, et ma culotte de dentelle rose.

« J’avais dit trempée, sous-merde, pas humide! On va t’arranger cela tout de suite. N’est ce pas messieurs? Ils vont te la remplir à tour de rôle, et venir se faire nettoyer le sexe par ta bouche de pipeuse. A chacun d’eux, tu dira merci monsieur de me traiter comme la salope que je suis! »

Elle remonta sans ménagement ma culotte plastique et l’un après l’autre, les hommes vinrent se soulager dedans, la faisant se gonfler de leur mélange d’urine, et à chaque fois, je devais nettoyer leur sexe pas toujours propre,et répéter la même phrase humiliante.

« Te voila en condition, salope, on va pouvoir passer à la suite. Tu vas te mettre a quatre pattes, la figure dans l’urinoir, et bien écarter ta culotte, que l’on puisse voir que tu baigne dans la pisse et que tu es plugué, comme une bonne truie en chaleur. »

J'obtempérai sans discuter, autant par peur des représailles que par le plaisir malsain de m’avilir ainsi devant cette femme hautaine.
Des flash crépitèrent! Je me retournais pour protester, il n’avais jamais été question de photos, mais un talon aiguille m’obligea à replonger la figure dans l’urinoir.

« tu bouges pas, salope, ou ce talon pourrai bien te faire très mal! Tu voulais servir de pute gratuite? Être souillé et avili? Maintenant, assume ta condition. Jusqu’à présent, je suis content de toi, et si je veux prendre des photos, je le fais! Compris? Tu n’as rien à dire à part oui Maîtresse ou merci Maîtresse. Tu sera dorénavant ma salope soumise, et je me servirai de toi comme telle. Compris? Sinon ces photos pourraient bien atterrir la où tu n’aimerai surement pas qu’elles atterrissent!

Le « oui Maîtresse » ne fut qu’un glouglou inintelligible, ma bouche baignant dans le rigole odorante qui s'écoulait du trop plein de ma culotte, et je me résignait, honteux mais heureux à la fois, lorsqu’une douche chaude m’arrosa le dos et la tête: Maitresse M. Me pissait dessus, devant tout le monde, tout en continuant à prendre des clichés de la scène.
Puis elle retira sans ménagement le plug qui obstruait mes fesses, le jeta dans la flaque d’urine ou je baignais, puis m’ordonna de le ramasser et de le sucer jusqu'à ce qu’il soit impeccablement propre.
Encore des flash, puis Maîtresse enleva son pieds de ma tête et annonça:

« Voila, messieurs, cette salope est à vous pour l’après midi, amusez vous bien mais ne me l’abimez pas. »
Ce fut la ruée....Sous les injures, baignant dans l’urine, des sexes de toutes dimensions forcèrent mon cul ouvert et ma bouche, déversant leur semence au fond de mes orifices, me traitant comme un simple objet de plaisir, durant une après midi qui me semblait de devoir jamais finir.
Enfin, je fus liberé, mais comme une ultime humiliation, l’un des hommes me dit:

«T’es vraiment une bonne salope bien soumise comme on les aime ici, tu vas maintenant te rhabiller, mais bien sur garder ta couche pisseuse, et prendre un verre au bar, tu l’as bien mérité. Et ne pense même pas à te laver avant, le foutre séché et la pisse te vont très bien au teint »

Au bar, Maitresse P m’attendait, tout sourire. Devant elle, un verre rempli.

« Dorénavant, tu sera ma pute , je suis fière de toi .A chaque convocation, tu viendra ici. Ahmed se fera un plaisir de faire savoir à ses amies et amis que tu n’est qu’une pisseuse dont ont peut user et abuser et c’est ainsi que tu servira en m’attendant. Bien entendu, la tenue sera la même que cette après-midi, et interdiction d’en changer sans mon autorisation. Enfin, pour te remercier, je t’offre ce verre: C’est un ami SDF qui n’a pas su venir, mais qui t’a laissé un bon verre de pisse pour se faire pardonner. Tu va le boire devant nous, puis tu pourra repartir, et trouver un endroit ou te rincer, tu pues la pisse comme c’est pas permis. Ce sera d'ailleurs ton nom ici: pue-la-pisse, ça te va très bien »

Toute fierté totalement annihilée, je bus l’infâme breuvage sous les railleries et le sourire conquérant de maitresse P et quittai les lieux.

La touche finale

Totalement épuisé, vidé de toute volonté, souillé et avili, je me dirigeai, hébété vers la gare, espérant pouvoir au moins me laver la figure avant de retourner chez moi, lorsqu’une voix se fit entendre derrière moi

« Ho, man, t’as pas un euro ou deux pour moi s’il te plait? »

Un Sdf venait vers moi, mendiant la pièce. Franchement, ce n'était pas vraiment le meilleur moment, et je refusai poliment

« désolé, plus une seule pièce ; une autre fois »

Que ne venais-je pas de dire: l’homme se montra plus agressif, et haussant la voix:

« Ho la salope ! Faut pas le prendre de si haut! Tout le monde sait que tu porte une couche pisseuse et que tu t’es fait enculer tout l'après midi ! En plus tu pue la pisse à 100m et tu te la pètes? Moi qui t’ai payé un verre il y a 10 minutes à peine? »

Il y avait du monde autour de nous et deux ou trois personnes se retournèrent. Rouge de honte, je fouillai nerveusement mes poches et lui donnai les quelques piécettes qui y trainaient, espérant le calmer. Il me remercia et tandis que je faisais déjà mine de m’en retourner, me rappela:

« Attends! Il y a ta Maîtresse qui m’a dit de te redonner ton plug, tu sais ou il se range parait-il.. »

Il me jeta le plug au vu et au su de tout le monde, et s’esclaffa bruyamment. Je ramassai l’objet, et couru vers la gare. Il me sembla encore entendre les rires de la foule dans le train qui me ramenait à la maison. Jamais je n’ai été autant humilié de ma vie, mais une chose est sure Si Maîtresse P me siffle, j' accourrerai comme la petite chienne soumise qu’elle a fait de moi, pour son plus grand plaisir et ma plus grande honte

Par latruiepisseuse - Publié dans : histoires
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